Son mémoire d’étude “Eigengrau” se décline sous la forme d’un court documentaire expérimental qui explore la notion de deuil dans une culture autre, tout en dépeignant son impact dans notre environnement et milieu domestique. Son travail et divers projets cherchent à révéler les récits et mythes qui hantent la mémoire de nos sociétés à travers la fiction et le dessin.
Cette quête visuelle et narrative se développe avec une activité de tatoueuse qu’elle entreprend conjointement à son parcours universitaire. Ce rituel millénaire lui offre un espace de création où elle réunit herbiers, cabinet de curiosité, ornements en tirant partie de la force mémorielle et manifeste de la pratique.
Aujourd’hui résidant entre Paris et Berlin, elle ancre sa pratique de tatoueuse tout en développant des projets d’illustrations et d’écriture.